Souhaitez-vous vous lancer dans l’international ? Sachez que traduire votre site Internet ou celui d'un client dans plusieurs langues est à cet effet capital, mais c’est une tâche qui ne semble pas être moins facile. Il n'est pas suffisant de s'appuyer absolument sur Google Traduction pour un projet de traduction de site web. Le contenu de cet article vous présente toutes les choses utiles à savoir pour réussir la traduction d'un site web. Lisez donc.
Faire la distinction des sites web
Pour votre travail de traduction de site web, il faut tout d’abord commencer par délimiter le type de site à traduire. Cela vous permettra de satisfaire le client en son temps. Vous pouvez tout de même faire appel à une agence de traduction pour une prestation digne du nom. De façon générale, il existe trois grands types site à savoir : •Les sites vitrines, qui sont une version un peu plus établie que la simple plaquette commerciale ou la carte de visite.
•Les sites de commerce électronique, où l’on ajoute une base de données qui contient des produits à vendre.
•Les services en ligne, qui sont des logiciels à part entière disponibles sur le web.
Avec cette localisation de site, l’agence de traduction ou vous-même saurez en amont avec quel type de site vous aurez à faire.
Confondre les contenus à traduire
Avant de vous lancer dans la traduction proprement dite, vous devez identifier ce que vous avez à traduire. C’est généralement là que la grande problématique se trouve. Si par exemple vous n'avez aucune information sur les contenus ou sur ce que vous désirez traduire dans votre site ou celui du client, cela voudra dire qu’il manque de maturité. Vous allez passer du temps sur le projet de traduction à ne rien faire concrètement.
À cet effet, il va falloir tout examiner et tout baliser avec le client surtout sur les contenus qu’il souhaite faire traduire. Vous pouvez alors commencer par tout classer par ordre de priorité (les contenus du site ) ceci en fonction de leur rôle. Nous pouvons parler de contenu comme :
•Des contenus statiques « classiques » : contenus des pages, mots-clés, architecture du site (menu, catégories), URL et métadonnées ;
•Des contenus statiques juridiques : mentions légales, CGV, CGU ;
•Des contenus dynamiques, tels que les pages générées à la demande, qui varient en fonction des informations saisies : compte client par exemple ;
•Des fiches produit (site de commerce électronique) ;
•Des contenus temporaires : offres promotionnelles, billets de blog, actualités de l’entreprise ; et/ou
•Des contenus externes : e-mails automatiques et newsletters.
C’est grâce à cela que vous pouvez proposer des devis liés à chaque contenu. Vous devez également savoir qu’il existe des sites qui présentent des contenus avec des images avec du texte, des vidéos qui devront être sous-titrées et également des documents à télécharger.
Choisir un système de travail
Pour la plupart, il n’existe pas une méthode standard de traduire les sites. Tout se fait en fonction de la nature des contenus à traduire, des délais et des exigences du client. Nous vous présentons ici les avantages et inconvénients de chaque option.
Pour la traduction sur un fichier externe par exemple, cela est possible avec les outils d’aide à la traduction (TAO) qui est d’ailleurs indispensable pour les fiches produit du commerce électronique. Mais le mal ici est que vous devez impérativement tenir le processus d’export et réintégration qui sont obligatoirement prévoir et à tester avant tout projet de traduction (pour cette option).
En ce qui concerne la traduction sur un back-office web, elle vous permet de gagner beaucoup de temps sur l’intégration. Mais vous pouvez assister à un risque de mauvaise manipulation du contenu par le traducteur. Il faut à cet effet, maîtriser l’outil de traduction.